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Le Cricket Sport d’équipe typiquement anglais, le cricket a des règles compliquées, un état d’esprit fair play, un code d’honneur, des tenues blanches sur du gazon vert. Les parties peuvent durer que quelques heures, un après-midi par exemple, ou jusqu’a cinq jours dans les grandes compétitions internationales. C’est en 1775 que les règles de ce noble art ont été édictées par les membres du très sélect Marylebone Cricket Club. Ce sport n’était donc pas joué n’importe où, ni pas n’importe qui. Lord Byron lui-même, avant d’aller se faire tuer chez les Grecs, participa au premier match entre Eton et Harrow, disputé en 1805. Plus qu’un sport, le cricket est une affaire d’Etat. A tel point qu’après la défaite de l’équipe nationale face à l’Australie, en août 1882, le « Sporting Times » publia une notice nécrologique annonçant la mort du cricket anglais : les guichets étaient brûlés et les cendres devant être transférées aux antipodes. Depuis cette tragique disparition, lors de chaque rencontre, les deux pays se disputent les « ashes » (cendres). La supériorité mondiale ne se joue plus seulement entre ses deux frères ennemis : le Sri Lanka, l’Inde, le Pakistan, les West Indies (Antilles britanniques), l’Afrique du Sud, en clair les nations majeures du Commonwealth se disputent le titre suprême, même les néerlandais et les danois pratiquent ce jeu. Mission : détruire le guichet… Non, les règles du cricket ne sont pas plus compliquées à saisir qu’un rituel franc-maçon récité en araméen ! Si ça se trouve, vous aurez peut-être même tout compris après avoir lu les quelques lignes qui suivent. Le terrain est ovale et mesure 135 mètres sur 150, (ceci est facultatif – si un village possède un terrain plus petit, tant pis, ça marche !) Le « pitch » situé en son centre, est un rectangle de 20 mètres sur 2,5, ayant à chaque extrémité un guichet (« wicket ») composé de trois piquets de bois (« stumps »). Ce guichet est défendu par le batteur (« batsman ») contre les attaques du lanceur (« bowler »). Deux arbitres (« umpires ») sont chargés de faire respecter les lois du jeu. Détruire le guichet Pour engager les hostilités, le lanceur se place devant le guichet opposé à celui du batteur et doit indiquer de quel côté il compte lancer la balle. Au même moment, l’un des coéquipiers, le gardien, se place derrière le guichet adverse et devant l’arbitre, pour récupérer la balle si le batteur la rate. Le lanceur ne peut en aucun cas plier le coude pour effectuer son geste. Si la balle est trop haute ou trop éloignée de ce dernier, l’arbitre annonce une « wide ball ». Si son pied dépasse une ligne située à 1,3 mètre de son guichet, il annonce « no-ball » et il ne lui reste plus qu’à recommencer, mais dans chaque cas son équipe perd un point. Le batteur prend sa garde tandis qu’un de ses collègues prend place de l’autre côté du « pitch ». Son but sera de protéger avec sa batte son « wicket » de l’agresseur et de frapper la balle ; si la balle est projetée assez loin, en courant, il échangera alors sa position avec son partenaire avant que les chasseurs adverses ne la renvoient sur le pitch, chaque « run » valant un point à son équipe. Une balle sortie en roulant vaut 4 points, sortie sans toucher le sol = six points. Le batteur se fait sortir si son guichet est détruit, ou si sa frappe est interceptée au vol…. mais il y a aussi quatre autre façons pour l‘éliminer. Pour plus de détails (et il y en a un paquet !) il faut mieux assister à un match en compagnie d’un francophone qui connaît les règles.


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Vice Président (e) : Monsieur HORLOCK David
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